Les femmes jihadistes françaises arrêtées dans le « Kurdistan syrien » seront « jugées là-bas » si les « institutions judiciaires sont en capacité d’assurer un procès équitable » avec des « droits de la défense respectés », a déclaré jeudi le porte-parole du gouvernement, Benjamin Griveaux.

Si « dans la partie kurde de la Syrie, dans le Kurdistan syrien », « il y a des institutions judiciaires qui sont en capacité d’assurer un procès équitable ...