En Guadeloupe, les commémorations de l’esclavage du mois de mai se doublent d’un autre « devoir de mémoire » : le massacre de manifestants par les forces de l’ordre en mai 1967 à Pointe-à-Pitre, des événements encore tabous sur lesquels nombreux tentent de faire la lumière.
Il y a tout juste cinquante ans, dans un contexte de décolonisation et de difficultés économiques dues à la ...