Suite à une action collective conjointe datant de mai 2020 pour faire reconnaître la responsabilité de l’Etat et le préjudice d’anxiété en raison de l’utilisation massive du chlordécone entre 1972 et 1993 aux Antilles,

le tribunal administratif de Paris a reconnu le 24 juin dernier les « négligences fautives » de l’État qui en a autorisé la vente, mais rejeté le préjudice d’anxiété.

C’est aux Antilles, ...