Les groupes à « pô », typiques du Carnaval de Guadeloupe et nommés ainsi en raison de leurs tambours en peau de chèvre, ont choisi pour l’édition 2017 de « réveiller » les consciences autour du massacre de manifestants par les forces de l’ordre en mai 1967 à Pointe-à-Pitre, dont le nombre de morts fait encore débat.

Traditionnellement, les « gwoup a pô » (groupes à peaux) ne défilent ...